
Bleu comme l'enfer
Célèbre film d'Yves Boisset, sorti sur les écrans en 1986, tiré du roman éponyme de Philippe Djian, exprime toute la dualité de cette couleur.
Celle du ciel, donc du Paradis, elle conjure le mauvais sort (œil peint sur la proue) des bateaux), c'est un porte bonheur.
C'est le Yang : la créativité, le sommet, mais aussi la vacuité « n'y voir que du bleu », teinte de la peur, du froid.
C'est aussi celle de l'inexpérience, voire la naïveté...
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